14 juin 1920, arrestation de pilleurs de trains, gare de Besançon-Viotte : Différence entre versions

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* '''Quarante-huit arrestations à Besançon.'''
 
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''A la suite de nombreux vol constatés en gare de Besançon-Viotte, la brigade mobile de Dijon, appelée sur les lieux, procéda à quarante-huit arrestation. Trente-cinq des individus arrêtés sont des militaires détachés en gare pour différents services de garde. Sur leur indication, treize receleurs, commerçants ou hôteliers de Besançon, ont été mis également sous les verrous. Les perquisitions opérées au domicile de chacun d’eux ont été concluantes. Les marchandises pillées, chaussures, vêtements, stocks alimentaires, sont évalués à plus de 100.000 fr..''
 
''A la suite de nombreux vol constatés en gare de Besançon-Viotte, la brigade mobile de Dijon, appelée sur les lieux, procéda à quarante-huit arrestation. Trente-cinq des individus arrêtés sont des militaires détachés en gare pour différents services de garde. Sur leur indication, treize receleurs, commerçants ou hôteliers de Besançon, ont été mis également sous les verrous. Les perquisitions opérées au domicile de chacun d’eux ont été concluantes. Les marchandises pillées, chaussures, vêtements, stocks alimentaires, sont évalués à plus de 100.000 fr..''
  
 
Journal Le Matin du 15/6/1920 (Collection BNF Gallica).
 
Journal Le Matin du 15/6/1920 (Collection BNF Gallica).
 
  
 
==Photos et cartes postales==
 
==Photos et cartes postales==

Version actuelle datée du 22 septembre 2020 à 18:33

Circonstances de l’incident

  • Quarante-huit arrestations à Besançon.

Lyon, 14 juin.

A la suite de nombreux vol constatés en gare de Besançon-Viotte, la brigade mobile de Dijon, appelée sur les lieux, procéda à quarante-huit arrestation. Trente-cinq des individus arrêtés sont des militaires détachés en gare pour différents services de garde. Sur leur indication, treize receleurs, commerçants ou hôteliers de Besançon, ont été mis également sous les verrous. Les perquisitions opérées au domicile de chacun d’eux ont été concluantes. Les marchandises pillées, chaussures, vêtements, stocks alimentaires, sont évalués à plus de 100.000 fr..

Journal Le Matin du 15/6/1920 (Collection BNF Gallica).

Photos et cartes postales

Croquis et plans