6 septembre 1887, ligne de Marseille-Blancarde à Marseille-Prado : Différence entre versions
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| + | ''Par suite de la rupture d'un tuyau de vapeur, un train de marchandises venant avec la vitesse de vingt-cinq kilomètres du Prado à la gare du sud, s'est abattu contre les rochers qui surplombent le fort Saint-Nicolas. Le chauffeur a reçu des blessures en sautant; ses camarades sont seulement contusionnés. La rupture du tuyau avait empêché le mécanicien d'arrêter le train. '' | ||
| − | Journal LE RADICAL 8-9- | + | Journal LE RADICAL 8-9-1887 (Collection BNF Gallica). |
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| + | *'''Les victimes du P.-L.-M.''' | ||
| + | ''Hier soir, vers cinq heures, un train de marchandises venant avec la vitesse de vingt-cinq kilomètres, du Prado à la gare du Sud, s'est abattu contre les rochers qui surplombent le fort Saint-Nicolas. Le chauffeur a reçu des blessures en sautant; ses camarades sont seulement contusionnés. La rupture du tuyau avait empêché le mécanicien d'arrêter le train. '' | ||
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| + | Journal L'Intransigeant 9-9-1887 (Collection BNF Gallica). | ||
==Photos et cartes postales== | ==Photos et cartes postales== | ||
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Circonstances de l’accident
- Marseille 6 septembre 1887.
Par suite de la rupture d'un tuyau de vapeur, un train de marchandises venant avec la vitesse de vingt-cinq kilomètres du Prado à la gare du sud, s'est abattu contre les rochers qui surplombent le fort Saint-Nicolas. Le chauffeur a reçu des blessures en sautant; ses camarades sont seulement contusionnés. La rupture du tuyau avait empêché le mécanicien d'arrêter le train.
Journal LE RADICAL 8-9-1887 (Collection BNF Gallica).
- Les victimes du P.-L.-M.
Hier soir, vers cinq heures, un train de marchandises venant avec la vitesse de vingt-cinq kilomètres, du Prado à la gare du Sud, s'est abattu contre les rochers qui surplombent le fort Saint-Nicolas. Le chauffeur a reçu des blessures en sautant; ses camarades sont seulement contusionnés. La rupture du tuyau avait empêché le mécanicien d'arrêter le train.
Journal L'Intransigeant 9-9-1887 (Collection BNF Gallica).
