Disque PL-2 : Différence entre versions

Version actuelle datée du 12 septembre 2010 à 20:27

Généralités

Diagrammes et plans

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  Coupe par AB

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  Vue en plan, partie supérieure

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  Châssis en traverses pour disque PL-2

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  Type 2

Photos et cartes postales

Fiche

Ce signal comporte une plaque ou cible ronde, de 1,20 m de diamètre, placée à 5 mètres au-dessus du niveau du rail.

La plaque peut occuper deux positions :

• l’une perpendiculaire à la voie (position de fermeture),
• l’autre parallèle (position d’ouverture).

Le signal est toujours à droite. Il n’existe pas de signal « à gauche »

La plaque est fixée sur un arbre vertical dont l’extrémité inférieure repose sur un pivot. Cet arbre vertical est supporté par un mât en acier. Le mât du signal est fixé sur un châssis en bois. La partie inférieure de l’arbre vertical est munie d’un levier pour la manœuvre du signal. Ce levier est relié à un appareil de calage contre le vent. Le coulisseau de l’appareil de calage est lui-même relié, d’une part, au fil venant du poste, d’autre part au levier du mouvement de rappel.

En cas de rupture du fil de manoeuvre, la plaque doit se placer dans la position de fermeture.

La plaque est fixée sur l’arbre par l’intermédiaire de brides et de boulons, ce qui permet de l’enlever facilement.

L’arbre vertical présente, d’autre part, dans le voisinage de ceux utilisés, deux rétrécissements à section carrée qui permettent de remplacer la plaque ronde, par une plaque carrée ou inversement.

Le mât porte des traverses formant échelons, qui permettent d’accéder facilement au sommet du signal.

Le mât porte en outre, à la partie supérieure, un fer plat pour la butée de la plaque, dans la position de fermeture. La plaque horizontale couvrant le mât forme butée dans la position d’ouverture.

Afin de pouvoir entretenir ces unités, une plateforme avec échelle d’accès est fixée sur le mât.

Il faut avoir soin, au commencement de l’hiver, d’entourer de paille, de planches ou de tôles, le soubassement de ce signal.

Le signal est toujours éclairé électriquement, au moyen de trois unités lumineuses fixées sur le mât, au-dessous de la cible. Le changement de coloration est obtenu par un commutateur actionné par l’arbre du signal.

On peut cadenasser le signal en position de fermeture à l’aide de l’un des dispositifs de cadenassage des signaux avancés.

Afin de faciliter l’entretien des unités lumineuses un garde-corps et une tablette sont installés sur le mât.