Deuxième plaque T sur potence pour disque, carré, annonciateur et triangle jaune : Différence entre versions
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− | + | Image : V 663 213 001 RS.jpg|Deuxième plaque T, à droite | |
+ | Image : V 663 213 002 RS.jpg|Deuxième plaque T, à gauche | ||
+ | Image : V 663 213 003 RS.jpg|Coupe par AB | ||
+ | Image : V 663 213 004 RS.jpg|Coupe par CD | ||
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Version actuelle datée du 25 janvier 2011 à 11:59
Sommaire
Généralités
Diagrammes et plans
Photos et cartes postales
Fiche
Version origine
La deuxième plaque T, qui se fixe sur le talon des potences types 1891 ou 1929, a été, comme la première p1aque, étudiée pour permettre l’application des règles de la signalisation future.
Provisoirement, la lunette mobile, destinée à recevoir le verre vert, restera vide. De même le feu de côté de la lanterne sera, pour le disque, obturé avec une rondelle en zinc de 0,160 m et le miroir réflecteur ne sera pas placé.
La cible est montée sur un petit mât dont la construction rappelle le mât PL-2-T. Ce mât; repose sur un socle que l’on fixe sur les cornières supérieures de la potence. Suivant la position qu’elle occupe sur le talon de la potence, la deuxième plaque peut être à gauche ou à droite.
Le signal est muni d’un appareil de calage modèle 1927.
Le socle porte les supports de poulies nécessaires pour les transmissions de manoeuvre et de rappel.
Le levier de l’arbre à deux bras dissymétriques, le bras le plus court étant destiné à la manoeuvre par moteur électrique.
Le bâti porte les trous nécessaires pour la fixation du commutateur de contrôle.
Version modifiée
La deuxième plaque T se fixe sur le talon des potences. Elle est montée sur un petit mât dont la construction rappelle le mât PL-2-T. Ce mât repose sur un socle que l’on fixe sur les cornières supérieures de la potence. Suivant la position qu’occupe sur le talon de la potence, la deuxième plaque peut être à gauche ou à droite.
Le signal est muni d’un appareil de calage modèle 1927.
Le socle porte les supports de poulies nécessaires pour les transmissions de manoeuvre et de rappel.
Le levier de l’arbre a deux bras dissymétriques, le bras le plus court étant destiné à la manoeuvre par moteur électrique.
Le bâti porte les trous nécessaires pour la fixation du commutateur de contrôle.
Lorsque le signal est éclairé électriquement, les ouvertures de la cible sont obturées, et l’éclairage est assuré par des unités lumineuses fixées sur le bras de la potence. Le changement de coloration est obtenu par un commutateur actionné par l’arbre de la plaque.