Disque PL-2-T : Différence entre versions

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==Diagrammes et plans==
 
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Image:V 663ST1935 45 1 RS.jp|Disque PL-2-T
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Image:V 663ST1935 45 1 RS.jpg|Disque PL-2-T
Image:V 663ST1935 45 2 RS.jp|Coupe par AB
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Image:V 663ST1935 45 2 RS.jpg|Coupe par AB
Image:V 663ST1935 45 3 RS.jp|Vue en plan de la partie supérieure
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Image:V 663ST1935 45 3 RS.jpg|Vue en plan de la partie supérieure
Image:V 663ST1935 46 1 RS.jp|Accrochage automatique lanterne, bloque chaîne
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Image:V 663ST1935 46 1 RS.jpg|Accrochage automatique lanterne, bloque chaîne
 
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Version actuelle datée du 11 septembre 2010 à 19:35

Généralités

Diagrammes et plans

Photos et cartes postales

Disque PL+2-T

Le signal présente, de jour, une plaque ronde de 1,20 m de diamètre placée à 5 mètres environ au-dessus du niveau du rail. Il est muni d’une lanterne donnant 2 feux : un feu avant blanc et un feu de côté coloré perpendiculaire au premier.


La plaque est percée de 2 ouvertures placées sur une même horizontale, et espacées de 0,700 m d’axe en axe. Celle de droite est circulaire et munie d’un verre de couleur logé entre 2 cercles de lunette. Celle de gauche peut donner passage à un feu réfléchi. Les 2 feux ont 0,200 m de diamètre.


Cette plaque peut occuper deux positions, l’une parallèle à la voie (position d’ouverture), l’autre perpendiculaire (position de fermeture).


Le signal est toujours « à droite ». Il n’existe pas de signal « à gauche ».


Il n’y a pas de feu arrière.


Le disque PL-2-T présente, au point de vue de la construction, une grande analogie avec le disque PL-2. Il permet notamment, comme lui, de fixer sur l’arbre plusieurs types de plaques. On emploie les mêmes types de châssis.


Comme pour le disque PL-2, la transmission doit être attelée de manière qu’en cas de rupture de fil, le signal se place dans la position de fermeture, sous l’action du mouvement de rappel.


En dehors du double feu qui peut être donné par ce signal, dans sa position de fermeture, quelques particularités sont à signaler.


A la partie supérieure se trouve une lunette mobile venant, dans la position d’ouverture du signal, se placer devant le feu direct de la lanterne. Ce dispositif, prévu pour donner, dans l’avenir, le feu vert à voie libre, comporte :

  • Une came de manoeuvre fixée à la partie supérieure de la plaque.
  • Un balancier placé sur le mât, et dont une extrémité porte la lunette mobile. A l’autre extrémité se trouve un contrepoids’ d’équilibre.


La lunette mobile porte une queue munie d’un galet qui vient s’appuyer sur la came de manoeuvre. Le mouvement de la lunette est ainsi lié à celui de la cible.


La lanterne est du type T à droite. La lampe est du type T.


L’appareil de calage est du type 1927.


Le disque PL-2-T peut recevoir le dispositif de cadenassage en position de fermeture.


Mesures transitoires : En attendant l’application des règles de la nouvelle signalisation, le feu réfléchi de la lanterne sera obturé par un disque en zinc, placé sur le verre. D’autre part, la lunette mobile restera vide, mais on assurera son bon fonctionnement.


Le porte-lanterne est muni d’un dispositif d’accrochage automatique et d’un bloque-chaîne. Ce dernier appareil permet de cadenasser la chaîne de la lanterne.


Le dispositif d’accrochage automatique permet de fixer la lanterne en un point invariable, lorsqu’on la hisse en haut du mât. Le feu se trouve ainsi convenablement centré par rapport à la lunette de la cible et à la lunette mobile.


L’appareil comprend :

  • un crochet oscillant, muni d’un goujon et fixé sur le porte-lanterne,
  • une came d’accrochage fixée à la partie supérieure du mât et comportant une rainure d’une forme spéciale dans laquelle s’engage le crochet oscillant.


Après avoir monté à fond la lanterne, il suffit de tirer légèrement en sens inverse pour que le goujon, qui s’est engagé dans la partie AB de la rainure, tombe dans la cuvette C. La lanterne est alors immobilisée.


Pour le décrochage, on remonte légèrement la lanterne pour sortir le goujon de la cuvette C. Le goujon s’engage alors dans la partie DE de la rainure et la lanterne peut descendre, il suffit de l’accompagner.


L’accrochage automatique est complété par un bloque-chaîne, appareil qui permet d’éviter la chute de la lanterne, en cas de décrochage intempestif du porte-lanterne.


Le bloque-chaîne est constitué par un petit levier à contrepoids, qui, étant rabattu, obstrue en partie un trou dans lequel passe la chaîne et immobilise celle-ci dans la position voulue. Une disposition permet de cadenasser le levier dans sa position rabattue et d’immobiliser ainsi la lanterne.