Article de la Revue générale d'Architecture de 1861: les types de stations de tête et exceptionnelles du PL

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De la classification actuelle et de la classification future les gares

  • Les gares de chemins de fer sont des gares de tête (placées aux extrémités d'une ligne) ou des gares intermédiaires (gares de passage). Mais plus on voit se développer le réseau des chemins de fer, et moins il y a de gares de tête absolument parlant, car les lignes de fer, en s'étendant, se rencontrent, se soudent les unes aux autres et telle gare qui est ou était gare de tête, par rapport à sa ligne propre, est devenue ou deviendra gare de passage par rapport au réseau général.


  • La fusion de beaucoup des compagnies de lignes distinctes, en unifiant de plus en plus l'administration des voies de fer, a favorisé encore ce mouvement, de sorte qu'on pourra un jour classer les gares comme s'il n'y avait en France qu'une seule compagnie exploitant le réseau général de nos lignes.


  • En admettant la même hypothèse pour les autres pays européens, on pourra aussi entrevoir le moment où, sous l'influence des progrès du bon sens, des bons sentiments et de l'économie bien entendue, il faudra couronner la hiérarchie des gares par la gare internationale, point de départ à la fois et d'arrivée des convois de nationalités différentes, monument bienfaisant des sociétés industrieuses et pacifiques, qui s'élèvera sur les ruines de ces formidables forteresses qui expriment encore avec une effarante précision l'enfance ignorante, la suspicion et la haine aveugle de l'étranger, malheureux symptômes qui caractérisent les sociétés encore plus ou moins engagées dans les liens de la barbarie.


  • Mais ce riant avenir, si séduisant à contempler à la lumière de l'espérance et de la foi au progrès, ne peut, nous servir de base à une classification de nos gares actuelles. Tenons-nous-en donc Pour un temps encore, à nos gares nationales de tête et de passage, en faisant remarquer que les gares de passage sont d'importance très-différente, les unes desservant les centres de population les plus considérables du parcours de la ligne, où les convois font, toujours une station plus ou moins prolongée, tandis que d’autres au contraire, en raison de leur insignifiance, sont toujours franchies sans temps d’arrêt par les convois à grande vitesse, et qu'entre ces termes extrêmes il existe une série de gares qui forment comme une échelle gratinée.


Gares exceptionnelles

  • Certaines gares de passage, par leur très-grande importance, forment une classe exceptionnelle. Les autres peuvent se grouper en gares de 1ère, de 2 et de 3ème classe.


  • Dans d’autres numéros, nous avons donné la gare de tête à Paris, du chemin de fer de Paris à Lyon, avec ses vastes dépendances et nombreux accessoires, et nous avons reproduit avec le même détail la gare de tête, à Lyon, de la même ligne de Paris à Lyon. Aujourd'hui nous donnons deux exemples de gares de passage exceptionnelles.


  • Les gares exceptionnelles étant placées près des villes les plus considérables desservies par la ligne, nous aurions dû choisir, sur le chemin de fer de Paris à Lyon, parmi les plus importantes, la gare de Dijon ou celle de Chalon-sur-Saône ou celle de Mâcon, sur la section de Dijon à Lyon; ou bien les gares de Tonnerre ou de Montereau, sur la section de Paris à Tonnerre.


  • Ces gares possèdent toutes des ateliers de réparation et de grands dépôts de machines, et généralement de vastes hangars à marchandises.


  • Celles de Dijon et de Mâcon ont des halles couvertes (ce sont les seules), à cause de l'importance que leur communiquent les embranchements de chemins de fer qui s'y rattachent.


  • Les gares exceptionnelles, sur la ligne de Paris à Lyon, d'une importance moindre que les précédentes, n'ont pas toujours des remises de machines, mais elles ont invariablement une halle à marchandises, des remises de voitures et des prises d'eau. Telles sont les gares de Melun, de Fontainebleau, de Sens et de La-Roche-sur-Yonne, pour la section de Paris à Tonnerre, de Montbard, pour celle de Tonnerre à Dijon, de Beaune, Tournus et Villefranche, pour celle de Dijon à Lyon.


  • Ces gares exceptionnelles de deuxième ordre forment, en général, les points d'arrêt à peu près à mi-distance entre les stations ou gares exceptionnelles de premier ordre, mais elles ne sont guère que des gares de passage de 1ère classe, plus grandes que les autres gares de cette classe.


  • Comme spécimens de gares exceptionnelles, nous avons choisi, pour celles de premier ordre, la gare de Mâcon, et pour celles de deuxième ordre, la gare de Fontainebleau.

Gare de Mâcon, gare exceptionnelle de premier ordre

  • Cette gare, dont le plan général se voit planche 62, est élevée à l'une des extrémités de la ville de Mâcon, sur un plateau dominant la Saône. On arrive dans la cour des voyageurs par une pente douce, là sont installés les services du départ et de l'arrivée. De la cour des voyageurs on communique avec celle de la gare des marchandises.


  • La gare de Mâcon reçoit l'embranchement du chemin de Genève, de sorte que l'on a dû y ménager, jusqu'à la réunion des deux lignes dans les mains de la même compagnie, un service distinct pour l'embranchement de Genève.


  • Les bâtiments se composent d'une grande station couverte, d'une rotonde pour 17 machines locomotives, d'une remise pour 8 machines en feu, d'un petit atelier de réparation, d'un quai à coke avec bureau (et chambre d'employé au-dessus), d'une remise pour les voitures de la ligne de Genève (en tête de la gare du chemin de Lyon) et d'une gare de marchandises pour chacune des deux lignes (sur Paris et Lyon et sur Genève).


  • On y trouve aussi toutes les voies ferrées nécessaires au service des bâtiments ainsi qu'à celui des trains de voyageurs et de marchandises.


  • La planche 63 donne le plan détaillé de la halle couverte.


  • Dans le plan détaillé de la planche 63, on reconnaît toutes les dispositions des bâtiments de service des voyageurs (A, B, C), bâtiments placés sur la cour du départ et de l'arrivée, et, parallèlement à ceux-là, de l'autre côté des voies traversant la halle couverte, celles de la remise des voitures de service des trains, avec les agencements utiles pour leur lavage.


  • Une partie de cette remise est consacrée à des «  closets », à la lampisterie et à un petit buffet desservant les trains de passage de ce côté de la halle.


  • Le pavillon-milieu (C) du bâtiment des voyageurs, qui forme un avant-corps, contient le vestibule de départ, le bureau de distribution des billets, celui du chef de gare et celui de la télégraphie électrique, la salle des voyageurs de première classe et l'escalier desservant les étages supérieurs, destinés aux logements des employés et facteurs, étages dont les plans sont donnés dans le liant. de la planche 63.
  • Le vestibule, foyer de la circulation générale, donne accès, à droite (côté de Paris), au service des bagages au départ. Le reste de l'aile droite du bâtiment des voyageurs contient la salle des bagages venant de Lyon et des bagages de la messagerie, une pièce pour le chauffage des chaufferettes, le corps de garde des hommes d'équipe, des « closets », le cabinet du médecin et celui du commissaire de la surveillance administrative, enfin deux escaliers montant à un entresol composé de pièces diverses pour le chef de gare du chemin de Genève, le dortoir des chefs de train, etc., et le logement du facteur. Le plan de cet entresol se voit dans le haut de la planche 63, à droite.


  • Le vestibule s'ouvre à gauche (côté de Lyon) sur les salles d'attente de 2ème et de 3ème classe, attenantes à la salle des premières. Le reste de l'aile gauche du bâtiment des voyageurs est occupé par le buffet, la buvette et la salle à manger, par un escalier conduisant au logement du buffelier, à l'entresol, par une salle des bagages venant de Paris et par le bureau du sous-chef de la gare.


  • Une des faces du bâtiment des voyageurs regarde la balle, et nous avons dit que la halle était couverte; l'autre face regarde la cour, et, de ce côté, une marquise, portée par des colonnettes en fonte, règne sur toute l'étendue de l'édifice. On peut donc, sur la cour comme du côté de la halle, faire à couvert tous les services de débarquement et d'embarquement des voyageurs et de leurs bagages.


  • La France est trop redevable à Mâcon, Paris surtout, pour qu'un artiste parisien ait pu un instant se montrer oublieux des beaux titres du Mâconnais à nos souvenirs reconnaissants. La vigne, fruits et feuilles, se mêlent donc à la décoration du pavillon principal, décoration que l'artiste a voulu emprunter à la flore du pays. Ce sont aussi des feuilles de vigne qui forment le motif principal de l'ornementation des moulures de la pile de tête reproduite planche 65. Cette pile, qui regarde vers Lyon, porte les armes de Dijon, parce que les trains se dirigent sur Dijon en quittant Mâcon pour Lyon.


  • La planche double 67-68 complète la série des dessins que nous avons consacrés à faire connaître l'importante gare exceptionnelle de Mâcon. Elle reproduit l'ensemble et les détails du comble de la halle, construit en bois et fer, comme la halle de la gare de Paris. Les fermes ont entre les murs une portée de 29,30 m, et leur écartement, d'axe en axe, est de 5 mètres. La grande portée des fermes a engagé l'architecte à employer 3 bielles et un triple système de cordes sous tendeurs pour roidir l'arbalétrier. Un sabot ou boîte de faîtage assemble les sommets des arbalétriers d'une même ferme. Les arbalétriers sont en sapin et ont 15,85 m de longueur, sur un équarrissage de 0,40 x 0,22 m. Comme à la gare de Paris, le pied de chaque arbalétrier est reçu par un sabot faisant console. Ce sabot est muni d'une paire d'oreilles que traversent quatre boulons, qui pénètrent ensuite au travers du mur et assemblent le sabot avec des plaques de fonte incrustées sur la face extérieure de l'édifice. Des fers à double T sont boulonnés sur le sommet des boîtes qui réunissent les têtes des arbalétriers. Ils forment une ligne de faîtage qui relie toutes les fermes entre elles et soutient la lanterne d'aérage de la halle. Les consoles que portent les boîtes de faîtage (voir les coupes longitudinales) facilitent et fortifient ce travail. La volige de ce grand comble est posée diagonalement, disposition adoptée par les ingénieurs anglais depuis trente à trente-cinq ans, et qui est généralement en usage parmi nous pour les grandes surfaces couvertes depuis vingt à vingt-cinq ans. Les fermes en sont plus solidaires, la couverture plus roide et mieux unie dans toutes ses parties. Cette volige est en sapin, posée à feuillure, avec couvre-joints.


  • Le quart de la surface de la couverture est vitré en verre double, dépoli. Le verre de la lanterne d'aérage couronnant le toit est aussi double et dépoli. Les trois autres quarts de la couverture sont en zinc, qui est posé d'après le même système qu'à Perrache.


  • Les détails d'assemblage du tirant principal, des bielles avec leurs plaques, des sous tendeurs des arbalétriers, du poinçon ou tige de suspension et des cordes horizontales rattachant les poinçons entre eux, sont donnés dans le bas de la planche 67-68, ainsi que le dessous de la boîte ou sabot de faîtage. Les autres figures de cette planche montrent la face du sabot à console qui reçoit le pied de l'arbalétrier, et la coupe longitudinale du comble.
  • Comme nous l'avons fait pour les autres gares déjà publiées dans cette Revue, nous ajouterons à cette description, comme un complément utile, un aperçu général de la dépense par corps d'état, avec quelques observations sur le mode de construction adopté.
  • Les socles, les arcades généralement, ainsi que les pilastres et les archivoltes des arcades des pavillons de chaque côté de la halle, sont construits avec une pierre dure provenant des carrières de l'abbaye de Damparis, distantes environ de vingt lieues de Mâcon, le pays immédiatement autour de Mâcon n'en fournissant que fort peu. Les arcs et les chambranles des portes des bâtiments en ailes sont exécutés avec la même pierre. Les étages, corniches, pilastres, bandeaux, fenêtres, tant des bâtiments en ailes que des pavillons, ainsi que l'entablement et les pilastres à l'intérieur des salles d'attente, et l'entablement et les pilastres des fenêtres d'attique sur la grande halle, sont en pierre blanche tendre de Tournus et des environs.
  • Tout le reste de la grosse maçonnerie, compris les murs de la halle et les murs intérieurs, sont en moellon du pays et plâtre de Paris.


Prix de revient de la gare de Mâcon

  • Bâtiments des voyageurs :
    • Maçonnerie : 176 200 fr
    • Charpente : 56 200 fr
    • Serrurerie, fonte : 69 250 fr
    • Couverture : 50 250 fr
    • Menuiserie : 100 450 fr
    • Vitrerie, peinture : 25 000 fr
    • Total : 477 350 fr
  • Grande halte :
    • Maçonnerie : 94 200 fr
    • Charpente : 25 500 fr
    • Serrurerie, fonte : 105 300 fr
    • Couverture : 34 600 fr
    • Menuiserie : 34 300 fr
    • Vitrerie, peinture : 30 150 fr
    • Total : 324 050 fr
  • Gare des marchandises :
    • Maçonnerie : 51 750 fr
    • Charpente : 39 200 fr
    • Serrurerie, fonte : 20 400 fr
    • Couverture : 36 800 fr
    • Menuiserie : 16 200 fr
    • Vitrerie, peinture : 3 900 fr
    • Total : 168 250 fr
  • Remise des machines en feu :
    • Maçonnerie : 51 600 fr
    • Charpente : 22 100 fr
    • Serrurerie, fonte : 10 200 fr
    • Couverture : 42 600 fr
    • Menuiserie : 2 450 fr
    • Vitrerie, peinture : 7 000 fr
    • Total : 136 250 fr
  • Dépôt de 16 machines :
    • Maçonnerie : 76 450 fr
    • Charpente : 17 000 fr
    • Serrurerie, fonte : 13 000 fr
    • Couverture : 25 000 fr
    • Menuiserie : 10 000 fr
    • Vitrerie, peinture : 2 800 fr
    • Total : 144 250 fr
  • Total général pour la gare : 1 250 150 fr

Gare de Fontainebleau, Gare exceptionnelle de deuxième ordre

  • Cette gare, située à l'entrée de la forêt de Fontainebleau, près de la route qui conduit de d'alvin à Fontainebleau, est établie en contrebas de la route par suite du tracé du chemin de fer, en déblai en cet endroit.


  • On arrive à la gare de Fontainebleau par une rampe douce qui descend dans la cour du départ, et l'on en sort par une autre rampe, au côté opposé, qui part de la cour de l'arrivée.


  • Les bâtiments sont distribués sur les deux côtés de la voie.


  • Ceux du côté du départ sont :
    • la station des voyageurs,
    • les remises des voitures de service,
    • des closets,
    • un petit hangar de distribution des bagages,
    • l'embarcadère des chaises de poste et des chevaux.


  • Les bâtiments du côté de l'arrivée sont :
    • le hangar d'attente,
    • des closets,
    • un réservoir pour l'alimentation des grues hydrauliques placées à l'extrémité de chacun des trottoirs,
    • la gare des marchandises,
    • un second petit hangar de distribution des bagages.


  • La planche 69 contient les plans détaillés du rez-de-chaussée, de l'entresol, du premier étage et de l'étage des combles de la gare ou bâtiment des voyageurs. La légende et les inscriptions gravées font aisément reconnaître, au rez-de-chaussée, le vestibule communiquant, en face de l'entrée principale, avec le bureau des billets, avec celui du chef de gare et du commissaire de surveillance, et avec la salle d'attente de 1ère classe. A droite, avec les salles d'attente de 1ère et de 2ème classe, et à gauche, avec la salle des bagages au départ et une grande salle d'attente supplémentaire pour les voyageurs montant à Tonnerre. Un escalier, donnant aussi sur le vestibule, dessert les étages qui surmontent la division centrale ou le pavillon de cette gare. Ces étages supérieurs sont destinés aux employés.


  • Planche 70. Le bas de cette gravure est occupé par la façade de la gare du côté de la cour. Le pavillon du milieu est décoré de pilastres à chapiteaux ornés. Son rez-de-chaussée est percé d'arcades que contournent des archivoltes à moulures, et les tympans sont ornés de rosaces.


  • Toutes les fenêtres de la gare ont des chambranles à moulures. Les soubassements sont en pierre dure provenant de Paris. Les pilastres, les arcades, les chambranles des fenêtres, les entablements, les corniches et les attiques portant horloge sont en Vergelé. Les remplissages sont en moellon et plâtre de Paris.


  • Dans la moitié supérieure de la planche 70, au milieu, se voit une coupe longitudinale du vestibule. A droite, une coupe transversale de l'ensemble du pavillon, et, à gauche, la façade latérale de la station, montrant aussi un des pignons du pavillon. Tout le bâtiment est couvert en zinc.


  • La planche 71 donne les chapiteaux des pilastres du rez-de-chaussée et du premier étage du pavillon. Le dessin en est à la fois ferme, simple et très-fin; les ingénieurs qui nous font l'honneur de consulter cette Berne pourront les étudier utilement, et plus d'un architecte en fera son profit. Cette gravure termine nos études extérieures de la gare de Fontainebleau. Nous avons consacré la planche 72, la dernière de la série destinée à faire connaître les gares exceptionnelles, à montrer divers détails de menuiserie et de maçonnerie intérieures, et la disposition des portes des salles d'attente.


  • Comme pour la station de Mâcon, nous terminerons cette description par un tableau résumant les dépenses de chaque bâtiment par corps d'état.


Prix de revient de la gare de Fontainebleau

  • Gare des voyageurs :
    • Maçonnerie : 78 000 fr
    • Charpente : 21 000 fr
    • Couverture : 14 000 fr
    • Serrurerie, fonte : 11 000 fr
    • Menuiserie : 24 000 fr
    • Vitrerie, peinture : 7 000 fr
    • Total : 155 000 fr
  • Réservoir carré:
    • Maçonnerie : 5 500 fr
    • Charpente : 2 900 fr
    • Couverture : 800 fr
    • Serrurerie, fonte : 250 fr
    • Menuiserie : 1 400 fr
    • Vitrerie, peinture : 250 fr
    • Total : 11 100 fr
  • Gare des marchandises:
    • Maçonnerie : 26 500 fr
    • Charpente : 14 500 fr
    • Couverture : 13 200 fr
    • Serrurerie, fonte : 8 700 fr
    • Menuiserie : 7 500 fr
    • Vitrerie, peinture : 1 600 fr
    • Total : 72 000 fr
  • Abri:
    • Maçonnerie : 21 200 fr
    • Charpente : 3 600 fr
    • Couverture : 3 800 fr
    • Serrurerie, fonte : 1 400 fr
    • Menuiserie : 3 800 fr
    • Vitrerie, peinture : 1 200 fr
    • Total : 35 000 fr
  • Closets ou cabinets d'aisance :
    • Maçonnerie : 10 000 fr
    • Charpente : 850 fr
    • Couverture : 4 000 fr
    • Serrurerie, fonte : 400 fr
    • Menuiserie : 1 300 fr
    • Vitrerie, peinture : 650 fr
    • Total : 17 200 fr
  • Trottoirs:
    • Maçonnerie : 8 900 fr
    • Charpente : /
    • Couverture : /
    • Serrurerie, fonte : /
    • Menuiserie : /
    • Vitrerie, peinture : /
    • Total : 8 900 fr
  • Remises des Voitures:
    • Maçonnerie : /
    • Charpente : 5 600 fr
    • Couverture : 8 500 fr
    • Serrurerie, fonte : 1 500 fr
    • Menuiserie : 5 200 fr
    • Vitrerie, peinture : 800 fr
    • Total : 21 600 fr
  • Total général des bâtiments : 320 800 fr

Diagrammes et plans

Fontainebleau:

Mâcon: